Parlons de chance!
Let’s talk about chance!
« Wahou! Tu as trop de la chance« …Des mots d’enfants que j’adore entendre lorsqu’ils parlent entre eux. A 7 ans, avoir de la chance, c’est faire un six aux petits chevaux, trouver un bonbon au fond de son cartable ou bien avoir le cadeau rêvé à son anniversaire ou à Noël. Adultes, la chance est toute autre mais nous poursuivons de jouer avec. Parce que oui, la chance est souvent lié aux jeux – notamment, aux jeux d’argents. Nous parions, nous jouons mais plus vraiment comme des enfants. De ce côté-là, je ne suis pas une grande joueuse mais de temps en temps, il m’arrive de jouer au loto. Je souris en y repensant parce je m’imagine gagner la méga cagnotte de la Française des Jeux, je rêve de ce que j’en ferai…Mais au final, je paye pour imaginer que j’accède à un rêve alors que rêver est un acte gratuit!
La chance est un vrai débat et j’ai tout récemment découvert qu’en plus de vendre du rêve, la FDJ avait crée un programme « Question de Chance » et des débats: les Lucky Talks. Par ce programme, la FDJ s’interroge sur le concept de chance jusqu’à soutenir des travaux de recherches universitaires en Sciences Humaines et Sociales. Les Lucky Talks sont des moments d’échanges, de réflexions sur notre société et quelle place a ce concept de chance. Le premier Lucky Talk a eu lieu le 2 février 2016 avec pour thème « Le rôle de la chance dans la Nouvelle Économie« . Le second Lucky Talk aura lieu cette semaine et son thème sera « La seconde chance« . J’ai la chance – c’est le cas de le dire – d’être invitée à cette soirée mais d’ici là, la FDJ m’a proposé de réfléchir sur la question de la seconde chance. Et vous, que pensez-vous de la seconde chance?
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La chance est un mot que nous entendons et utilisons souvent. La chance, c’est cette jolie dame que nous souhaitons voir toquer à notre porte. Et, il est rare que la chance vienne seule. De manière générale, la chance s’accompagne d’un ou de rêves. L’équation pour accomplir nos rêves nécessitent plus ou moins de chance, un coup de pouce, le destin, le hasard, le karma, la foi…Bref, il y a souvent une dimension « incontrôlable », imprévisible, de surprise dans les récits et les parcours.
Nous parlons de chance et souvent de seconde chance…Il est assez rare d’entendre parler de la première chance – un peu comme si la première n’avait de sens qu’avec la seconde. La première serait-elle une brouillon, une erreur, un rendez-vous manqué?
J’aime penser que cette seconde (ou troisième, quatrième, etc.) chance est plutôt une « vraie chance ». Pour moi, cela signifie que nous nous donnons le crédit de ce que nous voulons faire, la motivation et plus particulièrement la confiance. Se faire confiance est intimement lié aux rencontres que nous pouvons faire. De ma petite expérience, je constate que j’ai pris confiance en moi par des rencontres, par ces autres qui m’ont fait confiance et qui m’ont autorisé à m’essayer, à poursuivre pleinement ce que je souhaitais, à être moi-même et m’autoriser à réussir, tout simplement. Ces rencontres m’ont nourri et composent plusieurs chapitres de l’histoire que j’écris. De leur confiance, j’ai compris que je pouvais me faire confiance.
De mon adolescence, il y a une phrase qui reste ancrée en moi. Un psychologue (amusant, n’est-ce pas? et pourtant à l’époque, je ne me destinais pas à ce métier) m’a dit « Vous êtes une Ferrari qui roule à la vitesse d’une 2 CV« . En effet, mes notes avaient complètement chuté au lycée. Je ne m’épanouissais pas pour de nombreuses raisons que je ne développerai pas ici. Mais, ce que ce professionnel m’a signifié à ce moment-là est que je me bridais et que je n’étais pas vraiment moi-même. Malgré cet échec scolaire au lycée, j’ai pu m’épanouir à la fac. J’ai eu mon BAC au rattrapage et quelques mois plus tard, je décrochais des mentions en cursus de psychologie. Le paradoxe est joli.
Aujourd’hui, je saisis le plein sens de ses mots parce que je vis cette fougue intérieure au quotidien. Je l’ai accepté et j’ai accepté mes différences. Je ne la maîtrise pas pour autant mais je suis une personne avec une tête qui bouillonne d’idées, d’envies et d’aspirations. Jamais je ne pourrais rentrer dans un moule! J’ai ce besoin de liberté et d’espace pour laisser libre court à ma flamme. Le blog en est une marque. C’est une espace multiple où je partage autour de toutes mes passions et où les seules limites qui existent sont celles que je m’impose. Je suis cette fameuse Ferrari, cheveux au vent dont le rouge flamboyant ne passe pas inaperçu dans le paysage!
A cette occasion, j’ai eu envie de shooter un petit look pour illustrer cet article. Les couleurs sont assez sobres jusqu’à ce que le regard se pose sur les touches de rouge qui viennent détoner l’ensemble. Je dois vous avouer quelque chose: j’aime les éléments perturbateurs!
BURTON – Trench
GALERIES LAFAYETTE – Étole / Scarf
ASOS – Top
PRIMARK – Jean
REPETTO – Ballerines / Flats
ETAM – Boucles d’oreilles / Earrings
Cet article est sponsorisé par la Française des Jeux.
« Wow! You’re so lucky »…I love to hear these words when children talk to each others. At 7 y.o, good luck is to make a six to a game, find a candy deep in his/her backpack or have the perfect gift for birthday or Christmas. For grown ups, luck is different but we continue to play with it. Because yes, luck is often related to games – including money games. We bet, we play but not really like children anymore. From that side, I’m not a good player but occasionally, sometimes I play to the lottery. I smiled thinking about it because I imagine winning the mega jackpot of the FDJ, I dream of what I would do…But ultimately, I pay to imagine that my dream comes true while dreaming is a free act!
Luck is a real debate and I recently discovered that in addition to selling dreams, the FDJ had created a program « Question of Luck » and debates: the Lucky Talks. Through this program, the FDJ questioned the concept of luck by supporting university researches in Human and Social Sciences. Lucky Talks are moments of discussion, reflection on our society and what place has the concept of luck. The first Lucky Talk was held in February, the 2nd with the theme « The role of luck in the New Economy. » The second Lucky Talk will be held this week and its theme will be « The second chance« . I’m lucky – so to say – to be invited to this evening but by then, the FDJ asked me to think about the question of the second chance. And you, what do you think of the second chance?
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Luck is a word we often hear and use. The chance is this lovely lady that we wish to knock on our door. And it’s rare that luck comes alone. In general, luck is accompanied by one or many dreams. The equation to accomplish our dreams require more or less likely, a boost, destiny, fate, karma, faith…In short, there is often a dimension « out of control », unpredictable, surprise in stories and lives.
We speak of luck and often of second chance…It is rare to hear about the first chance – as if the first took sense only with the second. The first would it be a draft, an error, a missed opportunity?
I like to think that that second (or third, fourth, etc.) luck is rather a « real chance ». For me, that means we give ourselves credit for what we do, motivation and especially confidence. To trust ourselves is closely related to meetings that we can do. From my little experience, I find that I have gained confidence in meeting, for those others who trusted me and allowed me to try me, to fully pursue what I wanted, to be me and allow me to succeed, simply. These meetings nourished me and compose several chapters of the story I’m writing. With their confidence, I realized that I could trust myself.
From my teen years, there is a sentence that remains grounded in me. A psychologist (funny, isn’t it? And yet at the time I did not had destined me for this job) told me « You are like a Ferrari driving at the speed of a 2 CV ». Indeed, my grades had completely fallen in high school. I didn’t blossom at this time for many reasons I will not elaborate here. But what professional meant to me that time is I bridled me and I was not really myself. Despite this academic failure at high school, I could enjoy myself in college. I had my BAC to catch up and a few months later I started to kill it in psychology classes. The paradox is funny.
Today, I take the full meaning of his words because I live this inner passion every day. I accepted it and I accepted my differences. I do not mean control it but I am a person with a head buzzing with ideas, desires and aspirations. I could never get into a mold! I have this need of freedom and space to let free my passion. The blog is a mark. It is a multiple space where I’m sharing all my passions around and where the only limits that exist are those I impose myself. I am the famous Ferrari, hair flying in the wind, the flaming red doesn(t go unnoticed in the landscape!
On this occasion, I wanted to shoot a look to illustrate this article. The colors are sober enough until the eye rests on the red hues that come detonate the all look. I must confess something: I love disruptive elements!
Sponsorised post for Française des Jeux.